Il y a deux semaines, je rencontrai Josée Blanchette, célèbre chroniqueuse à Le Devoir et je vous en parlais dans mon billet De la transparence, de la mise en scène et de la perte de contrôle. Je vous y expliquais ce que madame Blanchette nomme « off the record ». Je viens de lire le portrait de Josée (nous sommes devenues amies d’abord dans Facebook, puis dans la vraie vie grâce à cette rencontre), Michelle ma belle... sont des mots qui vont très bien ensemble. Et j’en suis très, très touchée. Je ne peux m’imaginer un futur portrait qui soit plus attendrissant. Le sujet de ma condition et de ma personne vient d’être traité comme il ne pourra plus jamais l’être. Tout (ou presque) a été dit et il sera bien difficile (voire impossible) à un autre journaliste d’imaginer traiter ce sujet de nouveau. Je vais garder précieusement cette chronique et m’y référer durant les moments de blues. Josée, te dire MERCI ne représente qu’une infime portion de la reconnaissance que j’aie…
La conférence dont Josée parle « Sauvons le Journal de Montréal » est disponible dans mon billet Webdiffusion de ma conférence sur l’avenir des médias.
vendredi 24 avril 2009
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